5 rue des cerisiers, (attention chat méchant)

C'était mon maître qui m'avait payé cette petite maison. Un petit jardin, une clôture, juste un étage mais elle me plaisait. De l'éxtérieur, elle était typiquemnt américaine. Mais àl'intérieur...
A peine la porte franchit que l'on devait ôter ses chaussures pour ne pas rayer le parquet en bois qui recouvrait le sol de toute la maison. Des portes coulissantes permettaient d'accéder à toutes les pièces. L'ambiance était zen, détendue, tranquille et intime. Je m'y sentais bien. Je n'avais jamais invité personne chez moi, je trouvais que faire rentrer quelqu'un dans ma maison, c'était lui ouvrir une partie de mon âme.
Je fis un ménage rapide, arrosa mes plantes, nourris mon chat, oui j'avais un chat. A 15h45 je me mis aux fourneaus, mon tablier autour de la taille, la musique pour m'accompagner. Ah Kanon, j'adorais cette chanteuse.
Mélanger, faire fondre le chocolat et hop au four ! Faire cuire 30 minutes et ce sera prêt. J'attrapa mon chat et lui dis:

-Cham tu seras sage, nous avons un invité aujourd'hui.

*Où est donc cette fichue rue des cerisiers ?* Oui, douze ans passés ici, mais pas dans le quertier. Je savais à peine reconnaitre ma rue des autres. D'ailleurs, debout sur mon skate, je cherchais, comme un imbécile, un petit panneau écrit blanc sur bleu "Rue des Cerisiers"...Elle ne devais pas être bien loin...Et je la trouvis. Avec un petit virage, je la pris, cherchant des yeux le numéro 15. Sautant de mon "véhicule", je frappai à la porte. Loupé. Une vielle femme ouvrit. M'excusant, je repartis, vers le numéro 20. Cette fois, j'étais sûr que ce serai le bon. Et encore raté. Cette fois, ce fut un tout jeune garçonet qui ouvrit. Je m'excusai encore puis repartis, plus doucement. Elle m'avais dix numéro 5. Cette fois, c'étais le bon. Trois sons distincts retentirent à la porte d'Aelis. Le nom sur la boite aux lettres prouvait bien qu'il s'agissais de sa maison. Toc, toc, toc.

-C'est le loup ! Dis-je en riant.

En plus, c'était vrai, c'est le loup. Histoire de rire, je me fis loup. Je me postai, devant le perron, gueule ouverte, souffle haletant, crocs luisants.

On sonna à la porte et une voix retentit:

-C'est le loup !

Je ris, oui jamais je n'invitais personne et j'ouvrais ma porte à un loup.

-J'arrive !
Je me dirigea vers l'entrée, sortis des pantouffles, je n'allais pas le laisser pieds nus quand même ! Déjà torse nu...Tais-toi cerveau ! J'ouvris. Un grand loup noir se tenait sur le pas de ma porte, gueule ouverte, langue pendante. Je lui souris. C'est alors que surgissant de nul part, Cham bondit sur mon invité en crachant.

-Non Cham !

J'attrapa ledit félin par la peau du coup et le fixa de mes yeux rouges en grondant. Le chat repartit se planquer sous un meuble, ne cessant de fixer Nëdïan. Je m'inclina devan lui en disant:

-Gomenasaï.
Je me releva, un sourire malicieux aux lèvres.

-Ca veut dire excuses-moi. Entres.

Maudit chat. Ce félin miniature bonditsur moi, plantant sur mon dos ses petites griffes. D'un léger coup de main (oui, maintenant de main, car j'étais à présent humain) je le poussai, laissant sa maitresse s'en emparer.

-Ce n'est rien...

J'entrai dans cette petite maison toute chaleureuse, laissant mes Vans à côté d'un meuble d'entrée, ainsi que mon skate. J'enfilai les pantoufles laissées à coté m'étant destinées, puis avançai vers Aelis. Une bonne odeur de gâteau pas brûlé s'empara de mon nez. J'adore le chocolat.

Je fis coulisser la porte pour entrer dans le salon. Une table basse et des coussins tout autours, rouges, moelleux comme au Japon. Un peu plus américain, j'avais istallé une banquette et des fauteuils mous, des eu...poufs ? Oui un truc du genre. Il y avait beaucoup de fenêtres, pour plus de lumière, et un unique meuble en bois sombre longeait le mur. Livre, chaîne de musique et surtout mon bonzaï. J'adorais ce petit arbre. Aux murs, des éventails, des sabres et autres katanas et surtout, une peinture à l'encre de chine représentant mon maître.

-Mets-toi à l'aise. Tu veux du thé ? du café ? un soda ? J'apporte le gâteau.

J'avisa mon chat qui sortait de sous le meuble.

-Cham sois sage je te préviens !

J'adorai la maison d'Aelis. C'était grand, chaleureux, lumineux, décoré...bref, c'était bien, quoi ! Le chat sortait de sous le meuble, je le pris dans mes bras, puis m'assis sur une chaise, dans le salon. Le chat ne me détestait plus toujours autant, bien qu'on voyais qu'ilvoulait partir. Une petite gratouille par là, et c'est fini ! Je le reposai par terre, lorsque sa maîtresse me demandait ce que je voulais.

-Rien, merci.

Moi, j'étais toujours émerveillé par toutes ces armes qui ornaient les murs. Elle devait savoir toutes les maitriser ! Impressionant... Moi, à part un couteau, si je prenait une de ces armes, je me coupait un bras !

Comment ça rien ? Bon tans pis. Je ramena un plateau que je tenais par les deux poignets sur les côtés, j'y avais mis le gateau à peine sortit du four et du thé. Je m'assis, les genoux sous moi, une position inconfortable pour ceux qui n'avait pas l'habitude. Nëdïan avait apprivoisé Cham en deux gratouilles. Je coula un regard à mon félidé ronronant sur les genoux de mon invité. Alors lui franchement !
Je servis le thé comme on me l'avait apprit, laissant voir mon poignet. Kimimaro me disait souvent que je devait avoir la grâce d'une geïsha quand je servais quelqu'un. Puis je coupa le gâteau, ouai je l'avais même pas cassé trop forte ! Je servis sa part au loup qui dévorait mes armes des yeux. Il ne fallait pas un permis pour tout ça ? Non hein ?
Su le meuble du salon était rangée Jato. Dans la maison je ne la portais pas sur moi et la laissais sur son tissu de velour bleu. Je la sortis du fourreau pour la montrer à Nëdïan.

-Voici Jato, mon arme préférée, elle ne me quite jamais.

L'air de rien je demanda:

-Le gateau est bon ?

Je ne pris même pas la peine de répondre à sa question. Sûr, le gateau était délicieux, mais cette arme était impressionante, autant que magnifique. C'est donc elle qu'Aelis serrait dans sa main lors de notre rencontre. Elle ne voulais pas la lacher, de peur...Bref, je la reposai, continuant à manger la part de gâteau que la maîtresse de maison m'avait si gentillement servi. Au chocolat, en plus.Je n'avais rien demandé par politesse, mais un thé si gentillement proposé ne devais pas être refusé. Et puis, quelle façon si spéciale de servir un thé !
Tout est commeça chez les japonais ? En plus, délicieux, et même pas amer comme celui que me faisait ma grand-mère...le sien était immonde, elle m'en avait dégouté. Mais celui d'Aelis était délicieux.

-C'est délicieux !

Malgré tout, je me demandais comment j'avais fait pour me retrouver ici. Ce n'étais pas mon truc de me faire des amis aussi rapidement, mais je me retrouvais, là, dans une maison japonaise, avec une compagnie qui n'était sûrement pas déplaisante. Pour une fois, je ne regrettait pas mes actions !

Je souris face à son air réjouis. Il n'était pas triste, comme lors de notre rencontre. Il semblait sous le charme, j'étais très fière de moi, pour une fois que je faisais quelque chose de bien !

-Merci. Maître Kimimaro me disait souvent que j'étais bonne à marier parce que je faisais un bon thé. Mais j'ai eu un excellent professeur.

Je désigna son portrait accroché au dessus du meuble. Soudain, je me rendis compte que pour lui, cela semblerait un peu étrange de voir que mon maître était un moine. Ici les moines ne combattaient pas au sabre. Je m'approcha de lui, le regardant droit dans les yeux, je murmura un truc du genre:

-Je suis encore désolée por tout à l'heure sous l'arbre, pour eu...t'avoir comparé à un chien. C'est juste que je n'aime pas beaucoup les loups.

Je détourna le regard, mauvais souvenirs. Pour une fois je n'avais as l'air ridicule.

[Tu tiens ça de Naruto, Kimimaro ?]

Au moins, elle était franche. Je n'avais pas trop aprécié le "je n'aime pas trop les loups" mais j'éspérait qu'elle changerai d'avis. Pourtant, moi j'aimais bien les tigres, moi,...Je rigole. Puis elle s'approchait de moi, je dus me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras. Son regard de feu me fixai profondément, ça lui donnait un air de...de...de tigre. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, ou plutôt, au plus normal, elle ressemblait étrangement à un tigre. Une tigresse...Et un loup. J'éspère que ces deux animaux ne sont pas faits pour se détester...
Je voulais changer d'idée. Je me servis une autre part de gâteau, que j'avalai tout rond. Extrèmement délicieux.

-Ce n'est pas grave.

Mes jambes repliées sous moi commençant à me faire souffrir, je les déplia pour les mettre à côté de moi.

[oui je cherchais un autre nom mais je trouvais pas ça m'énervais alors j'ai pris l premier qui passait XD]

Je ne savais pas si je l'avais encore plus vexé ou pas. Le fait est qu'il s'enfourna un autre bout de gateau. Je ne me sentais pas très bien, je ne voulais pas le blesser. J'étais pas super gentille, mais quand même pas méchante à ce point. Je lança un appel au secours à Cham. Ce dernier bailla avant de s'étirer et de se peletoner, tout ça en me tournant le dos. Toi tu ne perds rien pour attendre !
Nëdïan déplia ses jambes pour être plus à l'aise. Toujours à côté de lui, je décida de lui expliquer.

-Tu sais, mes parents sont des gardians loups. Alors quand je suis née tu penses bien que ça a fait des histoires. Moi un tigre ? comment était-ce possible ? Ils se sont séparés, ma mère s'est volatilisée dans la nature et mon père...Ba il m'a abandonné. J'ai été élevée par un moine dans un temple au fin fond du Japon. Alors moi et les loups c'est...compliqué on va dire.

Je ris nerveusement, une envie subite de faire la poussière me gagna. J'attrapa un chiffon et me mis à nettoyer le meuble frénétiquemet.

Je comprenais mieux maintenant. Voila pourquoi elle n'aimait pas les loups. Et puis oh...je suis pas un loup, je suis le Loup. Voila. Nuances. Et quelle drôle manie de faire le ménage. C'est aussi pour cela que cette petite maison est tout le temps propre. Hin hin ! Faut que je me calme, moi. Bref, d'un signe de tête, je la prévins de revenir, et d'arrêter sa tâche ménagère, ce qui ne servait à rien, puisque le buffet était parfaitemant propre.

-Ce n'est pas grave...mais ce n'est pas pour autant que tu dois me détester...

Je voulus retirer ce que je venais de prononcer. Mais hélas, les retours en arrière n'éxistent pas, dumoins, je n'en ai pas le pouvoir. Malheureusement, d'ailleurs. Si cela éxistait, je l'aurait fait sur tout ce que j'avais dit, je me serai même tué des mes premiers instents de vie.

Je triturais mon torchon dans tous les sens possibles et imaginables, et finis par le laisser tomber en entendant ces quelques mots:

-Ce n'est pas grave...mais ce n'est pas pour autant que tu dois me détester...

Oh non! J'en étais sure, il croiyait que je le détestais ! Oh non, mais c'était pas possible ! Je me retourna brusquement, le regardant perplexe avant de lui foncer dessus, mon visage à quelques centimètres du sien. Je cracha, presque énervée:

-Je ne te détestes pas ! Rentres toi ça dans le crâne ! Sinon je t'aurais pas fait un gateau !Et paf! Un point pour moi. Je me calma aussi rapidement que je m'étais énervée juste avant de virer au rouge tomate. Seigneur quel regard ! Tout simplement superbe ! Ces yeux verts parcourus d'argent, une lueur animale mais humaine quand même. Je me perdis dans leur contemplation. Jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi intense, à part chez les mannequins mas il n'était pas mannequin, non ? J'adorais les yeux verts, parcequ'ils étaient rares, peu de gens en avaient. Et j'avais toujous été attirée par la rareté. J'avais un peu de mal à respirer il fallait l'avouer, et surtout quelle chaleur ! Non mais pourquoi j'ai pas installé la clim, pourquoi ? J'étais envoûtée, complètement ailleurs, comme lorsque que j'étais ivre. Je leva ma main et sans vraiment savoir ni comment ni pourquoi, je la posa sur sa joue, la caressant doucement. Et je murmura:

-Tes yeux sont magnifiques, j'adore le vert.

Je fixai un oeil, puis l'autre...puis un oeil, et l'autre...comme le balancier...un puis l'autre. Je n'en pouvais plus. Trop près de moi, une main sur moi, comme si elle était sur mon coeur. Une discrète inspiration, et je l'embrassai. Si,si, c'est vrai. D'ailleurs, juste après, je me levai, pour prendre mes affaires. J'enlevai ma chaine, puis je sortis un papier de ma poche où était inscrit mon numéro de téléphone. Je m'approchais d'Aelis, sans rien dire, pour lui donner le pendentif, et le papier.

-Appelle-moi si tu veut, je m'en vais.

Sur ce, je sortis, fermant doucement la porte. Quand j'étais arrivé chezmoi, les roues du skate brûlaient, et mon regard était plus perdu dans le vide que jamais. Mais surtout, je restai tout le reste dela journée devant mon téléphone. Si bien que je ne mangeai pas le soir.

Je ne m'atendais pas à ça! Oh seigneur, oh seigneur, oh seigneur ça n'allait pas. Mais pas du tout. Pourquoi, pourquoi j'avais fait un truc aussi stupide ? Hein mais pourquoi ? cerveau je ne te le dirais jamais assez: JE TE HAIS !!!!

Calmes toi ma grande, pas de quoi paniquer ce n'était rien. Ce genre de chose arrivait à tout le monde, tous les jours.Ha ! J'étais parfaitement calme, maîtresse de la situation. Mon coeur battait à tout rompre, j'avais pourtant passé l'âge de trouver mon âme soeur. Franchement fallait que ça me tombe dessus hein ? Ca ne pouvait pas tomber sur la voisine, cette vieille fille de 36 ans ? Non c'était pour ma pomme ! Je fonça dans la salle de bain et pris une douche glacée, comme pour découver apès une cuite.
Je grignota vite fait, enrubaner dans mon kimono, affaler dans un pouf. Cham vint s'installer sur mes genoux. Je le caressais, pensive. Bon résumons la situation. J'ai rencontré un mec torse nu sous un arbre dont c'était l'anniversaire. OK. Je l'ai invité chez moi pour lui offrir un gateau. Bon ça peut encore passer. Il m'embrasse. Là ça ne passe plus !
Calmes toi c'était peut être une action irréfléchie, oui ça ne pouvait être que ça. On va dire que c'était un cadeau d'anniversaire, oui voilà ! Ahahahah ! Je suis trop forte ! C'était un petit incident de rien du tout, pas de quoi en faire un drame.

J'attrapa mon téléphone, oui parce que j'en avais un quand même, et composa son numéro.Deux tonnalités et...réponse ! Allé on prend un air sur de soi et on se lance:

-Nëdian, c'est Aelis, tu es partis tellement vite de chez moi que je n'ai pas eu le temps de te dmander si tu voulais faire quelque chose pour ton anniversaire. Alors je me suis dis qu'on pourrait aller en boîte ce soir ? Il y aura du monde, ce sera amusant tu en dis quoi ?

Mais quelle idiote !!! Je détestais aller en boîte, avec toutes ces pimbêches, ces dragueurs à deux sous, ces....Prends sur toi ma vieille, c'est pour une occasion, tu fêtes les 17 ans d'un...eu....comment j'allais le qualifier ? D'une connaissance ?

-Ce sera l'occasion de se connaître mieux non ? Et on oubliera ces histoires de loups, de tigres et de b...de surnaturel.
Tais-toi cerveau !!!!

[J'adore voir les gens écrire des romans, mais je me sens toute petite à coté... ='(
Oh, et puis, j'ai la flemme, je fais que le téléphone...xD]

-Je peut pas ce soir...je...euh...je serai malade. Mais un autre jour, si tu veut...euh...je suis désolé pour tout à l'heure.

[XD moi je me suis tapée un délire avec la fille en plein stress au téléphone ^^]

Yesssss !!!! il avait refusé. Bon c'était pas sympa de ma part mais franchement il aurait fallu me payer pour me faire aller en boîte, je détestais cet endroit. Je répondis après un moment:

-Ce n'est pas grave une autre fois alors.

Non jamais hahahahaha !!! Bon sois sérieuse un peu:

-Ne t'excuse pas ce n'est rien, prends ça comme eu...un cadeau.

Oh l'air pas douée ! Et puis ce n'était pas si désagréable...Tais-toi cerveau!

-Bonne soirée alors, à bientôt.

Avant qu'il ne raccroche, je lui dis d'une voix douce:

-J'ai été ravie de te rencontrer Nëdïan.

Cham me lança un regard style "comment veux-tu qu'il pense que tu ne l'allumes pas ?" Et crotte !

[xD]

-Oui...bon, aurevoir !

Et je raccrochai, commeça.

[on ferme pas parce que il y aura d'autres sujets dans ma maison et je vais pas rouvrir un nouveau topic à chaque fois]

[D'accord ^^']

Je rentrais chez moi, fatiguée, engourdie, quelle heure était-il ? minuit ? plus ? J'entra dans ma chambre, mis ma chemise de nuit et m'effondra dans mon lit.Cham vint s'installer avec moi, je me blottis contre lui. Je le caressais en m'endormant.

-Je fais que des boulettes Cham.

Il miaula d'un air de dire que c'était pas faux. Alors lui....!!!!

Je me réveilla le lendemain, la lumière inondait la pièce. Je m'habilla, déjeuna, Mon chat sur la table. Un coup d'oeil à l'horloge la plus proche. 13h12 ! Oh non c'était pas possibe ! Et j'avai oublié mes affaires aux sources, dont Jato ! Ra jour maudit!
J'enfila le premier truc qui passait dans mon armoire et fonçais aux sources sous ma forme animale, tant pis pour les gens. Je devais récupérer mon sabre! Le collier de Nëdïan tapait contre ma poitrine à chaque sauts que je faisais.